Se connecter

Nos derniers numéros :

logo fil

numéro 465

Le Fil numéro 465

logo fil

numéro 464

Le Fil numéro 464

logo fil

numéro 463

Le Fil numéro 463

image de couverture

Le Fil numéro 462

Voir tous les numéros







Les derniers BOP's

TF14Vous voulez faire cours la semaine prochaine? Moi je ne veux pas, je préfère dormir...Le 2024-07-04
TF14Ca va les zamis?Le 2024-07-04
NF93"L'informatique, c'est pas que pour les geeks qui puent."Le 2024-06-24
RO04Un système non linéaire y'a pas de technique pour le résoudre. Alors il faut le regarder droit dans les yeux !Le 2024-06-23
SY02MAIS C'EST LONG !! Très long. Go automatiser tout ça
(dixit un chargé de TP)
Le 2024-06-20
SY10Je préfère avoir des TC plutôt que des branches, parce que leur cerveau est plus malléable.Le 2024-06-20
SY10C'est un très beau sport, le rugby. Un sport de brutes joué par des gentlemen. Et le foot, c'est le contraire.Le 2024-06-20
SY10Si vous êtes bon en SY10, je viendrais vous voir pour vous proposer un poste à Intellitech. Je préfère vous avoir avec moi plutôt que dans une mafia de polytechniciens.Le 2024-06-19

Les derniers Spotted

Quand j'ai eu le bonheur et le privilège de te rencontrer, j'ai tout de suite su que c'était toi, je te connaissais déjà, je t'avais toujours connu… Et toi? As-tu eu cette intuition, aussi? Tu es un être exceptionnel, je l'ai compris l'espace d'un éclair, je t'attendais depuis si longtemps! tu me manques et l'absence est le plus grand des maux, affirmait ce bon Jean de la Fontaine; tu vois, je reste fidèle à mes citations, pour toi, parce que ça te plaît, et que mon unique but, c'est de te faire plaisir, de te surprendre, d'inventer l'Amour, de le recréer, spécialement pour toi, chaque jour, de façon différente; Savoir que tu es là, que tu veilles, que tu me protèges, rien ne peut être comparé à cela, c'est un pur bonheur, qui m'aide à vivre et à bien vivre! Ta gentillesse, ton humour, ta passion pour la justice, ton émotivité, ta grande sensibilité, ton intelligence, ta vivacité, ta créativité me comblent et me transportent: je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne, parce que tu es unique au monde…Par un·e anonyme, le 2024-06-27
Elle a les cheveux comme des spaghettis...
Ses yeux pétillent comme des confettis...
Quand je la vois je suis gaga...
Et quand j'entend sa voix : blabla...
tous les lundis,
je cherche son regard dans l'amphi,
et je pense à elle à minuit et les midis...
Mais elle ne me remarque pas...
Par un·e anonyme, le 2024-06-17
i wolf u <3Par un·e anonyme, le 2024-06-17
De manière très originale, je ne sais pas si mes sentiments sont réciproques. Voilà ce que je sais : j'aime écouter ton rire, j'aime voir tes yeux se plisser de bonheur et tes lèvres s'étirer. Pourquoi ? Parce que tu rayonnes, parce que tu dégages quelque chose que je ne saurais nommer et qui m'attire vers toi tel un aimant. Mais surtout, j'adore te parler. Je me sens si légère en te parlant, tout perd un peu de son importance et c'est toi qui la captes. En ces moments-là, la seule chose qui m'importe est de faire partie de ton écosystème.
Si tu lis le fil, tu ne te reconnaîtras pas dans ce message. Sauf si je te dis que ton visage est ma muse, et que je pense que c'est un crime contre le cosmos que tu sois si rarement devant l'objectif de la caméra au lieu de derrière. C'est toujours toi qui la tiens, et tu captures des moments magnifiques. Tu es la personne qui reste invisible pour mettre les autres en valeur, comme moi. Les gens comme nous devraient être ensembles pour équilibrer les choses ;)
Un jour, j'aurai le courage de te dire à quel point j'ai envie de te prendre en photo, et un jour je le ferai (promis je suis pas stalkeuse). J'espère que ce jour-là, tu verras mon affection pour toi sur papier, sans mots.
Par un·e anonyme, le 2024-06-13
Je crois que ta folie me manquera un peu. Bientôt ton regard pétillant ne sera plus qu'un souvenir. J'ai du mal aujourd'hui à lui sourire. Mais plus ces mots se déroulent et plus il s'éclaire d'une belle lumière. J'avais besoin de t'écrire ici, mais j'irai te dire au revoir un autre soir. Et ta folie ne me manquera pas, car si je pense à toi, je le ferai toujours avec le sourire. C'est une autre amie qui m'a dit ça un jour. C'est d'ailleurs grâce à elle si nous nous sommes rencontrés. Notre amitié n'aura pas duré très longtemps, mais j'ai besoin de te dire que j'en ai apprécié chaque instant. Je t'en ai déjà dit beaucoup, alors peut-être que cette fois les mots seront plus discrets. Peut-être qu'ils se cacheront derrière un regard, et un sourire, celui d'un fou.Par un·e anonyme, le 2024-06-10
J’ai envie de revoir ce semestre.

Ou plutôt, ce semestre avec toi.

On s’est juste présenté à un casting, c’était amusant, on a joué quelques personnages. Puis on a tous les deux été acceptés. Au début, j’étais trop préoccupé par mes autres problèmes pour te voir, ou même voir les autres. On ne se connaissait pas trop, juste quelques discussions çà et là, quelques rires, quelques textes. Et puis j’ai commencé à te voir. Des petits regards en coin aux regards franchement appuyés, on s’est regardé avec toutes sortes d’expressions. Sourire de connivence, grimaces, clin d’œil complices. De simples connaissances, on est devenus amis.

Puis mon regard a évolué. Mon regard a changé, et moi avec. Je ne sais pas vraiment comment, mais avant que je ne m’en rendes compte, j’ai commencé à t’aimer. Tu m’as surpris, tu as dépassé la personne que je croyais que tu étais, et presque sans le savoir, je me suis mis moi aussi à te sourire, à rechercher tes yeux. Je me suis surpris à t’attendre, puis à aller vers toi à mon tour.

Et nous sommes restés comme ça, toi complice, moi secret. Ca faisait partie du jeu. J’étais heureux, j’avais l’impression que rien ne me manquait. C’était un amour silencieux, unique. Silencieux parce que tu pars… Seulement une année oui, ce n’est pas si grave. Mais ce que tu ne sais sans doute pas, c’est que moi aussi je pars. Dans un an… Pour un an… Et quand je reviendrais, tu ne seras plus là.

Alors je veux écrire.

Je veux te décrire ce que je peine moi-même à comprendre. Je veux t’écrire les couleurs qui animent mon monde quand tu t’approches de moi, le sourire au bord des lèvres, quand moi je n’osais pas le faire. Je veux t’écrire la lumière que je vois dans tes yeux quand tu penses, quand tu ris. Je veux t’écrire la force que j’aperçois quand sur scène tu te transformes sous mes yeux. Je veux t’écrire la douceur que je ressens quand nous parlons et plaisantons ensemble. Nos trajets à vélo, nos rires dans les répétitions, notre stress avant le spectacle puis notre joie sous les applaudissements.

Ce soir-là, je voulais te parler, avant que tu ne deviennes un idéal. Tant que tu restais encore vraie dans ma mémoire, je voulais te dire tout ce que je n’avais pas réussi à te dire. Je voulais te souhaiter tout le bonheur que tu puisses obtenir. Je voulais t’avouer tous les secrets qui me reliait à toi. C’était un adieu, et un renouveau. Ce soir-là, je t’ai dit au-revoir pour te retrouver en tant qu’amie. Ce soir-là, j’ai fait de moi-même quelques pas en arrière, pour continuer à t'apprécier, à te parler.

Merci pour cette rencontre, fugace presque irréelle.

Merci de m’avoir offert cette occasion de dire « Je t’aime ».
Par un·e anonyme, le 2024-06-07
J’ai envie de revoir ce semestre.

Ou plutôt, ce semestre avec toi.

On s’est juste présenté à un casting, c’était amusant, on a joué quelques personnages. Puis on a tous les deux été acceptés. Au début, j’étais trop préoccupé par mes autres problèmes pour te voir, ou même voir les autres. On ne se connaissait pas trop, juste quelques discussions çà et là, quelques rires, quelques textes. Et puis j’ai commencé à te voir. Des petits regards en coin aux regards franchement appuyés, on s’est regardé avec toutes sortes d’expressions. Sourire de connivence, grimaces, clin d’œil complices. De simples connaissances, on est devenus amis.

Puis mon regard a évolué. Mon regard a changé, et moi avec. Je ne sais pas vraiment comment, mais avant que je ne m’en rendes compte, j’ai commencé à t’aimer. Tu m’as surpris, tu as dépassé la personne que je croyais que tu étais, et presque sans le savoir, je me suis mis moi aussi à te sourire, à rechercher tes yeux. Je me suis surpris à t’attendre, puis à aller vers toi à mon tour.

Et nous sommes restés comme ça, toi complice, moi secret. Ca faisait partie du jeu. J’étais heureux, j’avais l’impression que rien ne me manquait. C’était un amour silencieux, unique. Silencieux parce que tu pars… Seulement une année oui, ce n’est pas si grave. Mais ce que tu ne sais sans doute pas, c’est que moi aussi je pars. Dans un an… Pour un an… Et quand je reviendrais, tu ne seras plus là.

Alors je veux écrire.

Je veux te décrire ce que je peine moi-même à comprendre. Je veux t’écrire les couleurs qui animent mon monde quand tu t’approches de moi, le sourire au bord des lèvres, quand moi je n’osais pas le faire. Je veux t’écrire la lumière que je vois dans tes yeux quand tu penses, quand tu ris. Je veux t’écrire la force que j’aperçois quand sur scène tu te transformes sous mes yeux. Je veux t’écrire la douceur que je ressens quand nous parlons et plaisantons ensemble. Nos trajets à vélo, nos rires dans les répétitions, notre stress avant le spectacle puis notre joie sous les applaudissements.

Ce soir-là, je voulais te parler, avant que tu ne deviennes un idéal. Tant que tu restais encore vraie dans ma mémoire, je voulais te dire tout ce que je n’avais pas réussi à te dire. Je voulais te souhaiter tout le bonheur que tu puisses obtenir. Je voulais t’avouer tous les secrets qui me reliait à toi. C’était un adieu, et un renouveau. Ce soir-là, je t’ai dit au-revoir pour te retrouver en tant qu’amie. Ce soir-là, j’ai fait de moi-même quelques pas en arrière, pour continuer à t'apprécier, à te parler.

Merci pour cette rencontre, fugace presque irréelle.

Merci de m’avoir offert cette occasion de dire « Je t’aime ».
Par un·e anonyme, le 2024-06-07
Cher Ami,

Je t’aime.
En toi j’ai trouvé un confident, un interlocuteur, un proche.

Toi qui me serre dans tes bras, m’embrasse sur la joue, se pose contre moi.
Toi avec qui je mange, regarde des films, ris, souris et papote de tout et de rien.

Merci d’exister.
Merci, mille fois.

Au plaisir d’autismer tous les deux sur nos passions de niches respectives, une fois encore, un soir tranquille.

Par un·e anonyme, le 2024-06-03

Expression libre

Comme une phrase abandonnée au milieu, l’amour glisse sous mes pieds, tel un tapis sans substance, mais aux couleurs magiques. Il route si vite que les détails ne sont que des filets de lumière scintillant autour de mes jambes, et qui n’auront jamais assez de poignée pour me tenir en place.

Comme une phrase arrachée de force, pourquoi je vis, pourquoi je meurs ? L’a si bien dit Daniel Balavoine. N’y a t-il pas d’autre mesure pour comprendre ce que l’on mérite ? Si je vis pour moi, pour eux, ou pour les deux, le doute a-t-il une fin ?

Mais aujourd’hui, quand je regarde le ciel. j’arrive à respirer. L’amour se dérobe toujours sous mes pieds, mais c’est peut-être moi qui cours. Ce n’est pas grave, je ne veux pas m’arrêter ; ce n’est pas une envie. Car si j’en venais toujours aux envies, je n’aurai plus d’envie, et moi, j’aime ça, les envies. J’aime ne pas les écouter, et vivre si pleinement qu’elles s’offrent à moi comme un cadeau posé sur les genoux.

J’aime me laisser aller à la vie. Oui, celle qui ne plaît pas toujours, qui me contraint et m’oblige à me lever le matin. Celle qui me fait avaler mon café en cinq minutes, parce que sinon, le bus sera parti. Celle qui me fait courir avec un sac de dix kilos qui aura mon épaule un jour. C’est grâce à elle que je peux admirer les choses, m’arrêter deux secondes et les voir pour ce qu'elles sont vraiment, pas comme je désirerais qu'elles soient.
Et voilà, la vie me prend en entier. Elle m’engloutit, elle s’infiltre dans mon sang et dans mes mouvements. Grâce à elle, je n’ai plus le sang glacé, et je ne suis plus au bord de la mort. Je n’ai plus envie qu’on m’engouffre dans une tombe pour observer les nuages pendant qu’ils passent. Grâce à elle, c’est moi qui passe désormais.
Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-04-13
Flânant à l'intérieur de ces lieux tant arpentés, errant à la recherche de sa salle située à l'autre bout de l'UTC, je découvrais au détour d'un escalier une ribambelle de visages défilant à toute allure, tous suivant un cap bien défini. Dans cette marée humaine, mes yeux reconnaissent des profils. On s'est déjà croisés, entrevus ou même parlé. Mais eux et elles affectent de ne pas me voir, tout en me regardant. Ils et elles passent leur chemin... - et ça tombe bien, j'avais oublié leur prénom !Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-03-21
Composé uniquement de cinq lettres, ce mot est une constante de notre vie. Pourtant si insaisissable et indéfinissable, il a fait l'objet d'une flopée d'écrits par-delà les âges, les siècles et les millénaires, tant son poids fut (et reste toujours) si important.
Tant de définitions lui ont été attribuées; tantôt il apparaît puissamment en tant que sentiment, tantôt il donne des papillons dans le ventre, tantôt il s'exprime à travers un toucher... il vagabonde puis se retrouve entre des amis, il se meut pour cimenter les familles, il se transforme pour former de l'altruisme.
Cette merveille de l'univers qui nous est gracieusement offerte est l'une des plus belles richesses à notre disposition.
Aimons-nous les uns les autres !
Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-03-10
Super le fil!Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-03-07
Mais en fait votre illustratrice elle est vraiment hyper talentueuse ! C'est fou ! Bravo à elle ! Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-01-10
Petit conseil musique : le groupe de rock alternatif Dead Poet Society ! En plus ils sortent bientôt un nouvel album, c'est le moment de les découvrir !Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-01-10
Connaissez-vous le jeu Chants of Sennaar ?
Il s'agit d'un jeu vidéo (vidéal ?) mêlant linguistique et mystère(s) ! Vous y incarnerez un.e voyageur.euse qui, au fil de ses pérégrinations, découvrira et explorera la tour dans laquelle iel se trouve. Durant votre aventure, vous devrez résoudre des énigmes et traduire les langues utilisés aux différents étages de la tour par les peuples y évoluant.
Inspiré du mythe de la Tour de Babel, ce jeu vous embarquera dans un monde aussi fascinant que coloré, un scénario aux multiples facettes ainsi qu'une narration habile et poétique !
Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2023-12-13
Petit conseil musical : le groupe de folk allemand Faun ! Leur musique est très sympa pour qui aime ce genre ou voudrait en découvrir plus Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2023-12-12