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Les derniers BOP's

MI01Une pile d'assiette dans laquelle y a pas d'assiette... Il est difficile de parler de première assiette.Le 2024-11-14
SC12 *Parle de la communication visuelle des animaux Évidemment, j’adorerais être un poulpe ! Le 2024-11-13
MI01Toutes les machines sont un p'tit peu schizophrènesLe 2024-11-13
TN06En TD de TN06 avec le boss de l’UV : « Et si au median vous avez ça : Cleenex vous pourrez pleurer » […] entame une résolution malgré tout, et « et maintenant quand vous êtes là : deuxième cleenex »Le 2024-11-08
DI01C’est pas parce qu’un déchet est recyclable qu’il sera recyclé, et bien vous c’est pareil : c’est parce-que vous êtes diplômables que vous serez diplômés.Le 2024-11-08
MQ03Ça vous dérange si je mets de la musique sur le pare-brise ?Le 2024-10-26
SY02"Si un bon matin vous ouvrez une fenêtre et au lieu d'en déduire qu'il pleut, vous déduisez que c'est une gaussienne- [...]"Le 2024-10-21
SC12Pour moi, quand on est ingénieur et qu'on sait pas tailler une pierre, on a raté sa vie.Le 2024-10-16

Les derniers Spotted

trouver le mot caché conférence ou baptémes je suis la chercher moi la ou nous nous retrouveron ce samedi 32 novembrePar un·e anonyme, le 2024-11-20
J'ai rêvé de toi.Par un·e anonyme, le 2024-11-19
Ce soir, je paierais cher pour respirer le même air que toi. Je m'assieds dans cette pièce silencieuse où seul mon coeur bat, un rythme lent, régulier, qui n'attend que toi pour l'effaroucher. Toute ma vie, j'ai prié pour avoir le calme, un silence qui me laisserait penser et ressentir, et qui me libérerait de toute attente. Aujourd'hui, je l'ai, mais je l'abandonnerait volontiers pour ta douce voix, pleine d'acceptance et de délicatesse. Par un·e anonyme, le 2024-11-16
C'est une pluie battante par un soir d'été. Surpris par la tempête, je lève soudain les yeux Admirant malgré moi la fureur des cieux Marchant à petit pas dans la petite allée. J'avais pourtant vu, bien plus tôt, ces nuages Et j'avais observé ces myriades d'éclairs Mais jamais rien n'échappe au glas de ce tonnerre Et chaque goutte qui tombe forme comme un visage. Intrigué, résigné, j'approche pour l'entrevoir, Ce portrait scintillant au centre de l'orage. Mon cœur éteint se serre, ma voix manque de courage L'effigie, toute fragile, s'impose à ma mémoire. Et ma main la caresse, douce caresse traîtresse Cette main sur ce tableau, c'est un rêve sur une âme. Les gouttes tremblotantes glissent avec paresse, Sur cette œuvre qui nourrit sans faillir ma flamme. Et j'ai beau voir l'averse, vouloir l'éviter. Mon corps s'y précipite, et dans l'œil du cyclone Mes yeux cherchent avide, la face d'amazone Rassasiant mon esprit en quête de beauté. Cette flamme fragile virevolte dans les vents Quand dans le ciel survient la fureur des dieux. Elle scintille et elle danse, cherchant avidement Dans les gouttes éphémères, tes yeux victorieux Je préférerais toujours au calme reposant Les dangers de l'orage, et l'éclat du tableau. Et les rythmes sauvages, ce cœur contre ma peau Qui trépigne, hilare, indompté mais vivant.Par un·e anonyme, le 2024-11-11
À l'aube, je m'éveille, et déjà ton image s'impose à mon esprit. Tu surgis comme un éclair, une vision douce et pure, et ta voix commence à résonner en moi, mélodie subtile qui m'appelle, comme une urgence, à courir vers toi. Mon cœur t'invoque ; il vacille, il s'égare sans ta lumière. En pleine tempête, toi seule brilles, éclat salvateur qui dissipe les ombres et illumine mes pensées. Tu es l'unique visage qui s'imprime en moi lorsque le bonheur s’invite autour de moi, ou quand je cherche à goûter à cette joie. Il me suffit d'un instant pour être emporté par l’éclat de ton regard, vaste océan où je me noie, où ton charme éclaire de nouveaux horizons, me portant au-delà de ce monde. Dans ta présence, je trouve une sécurité sereine, un apaisement profond ; avec toi, je me découvre en paix avec moi-même. Ce sentiment est unique, d'une intensité que je n'avais jamais connue. Et lorsque je te vois, il m’est impossible de saisir comment, en un instant si fugace, s’évanouissent mes pensées les plus sombres. Il suffit que tu parles, que cette voix pure et chargée d’espoir murmure quelques mots, pour que mes blessures se referment d’elles-mêmes, que mes cellules renaissent, comme portées par une force invisible. Et le plus troublant, c’est que malgré l’éclat inestimable que tu revêts à mes yeux, nul ne pourrait m’apporter cette plénitude que me procure ton sourire doux et lumineux. Ce sourire, à la fois tendre et rassurant, m’accorde la confiance de croire en mes capacités, de me dire que ma vie possède une valeur insoupçonnée, et que mon être mérite cette foi en lui-même. Et enfin, rien ne peut égaler la douceur de tes bras, qui, lorsqu’ils reposent sur mes épaules, apaisent mes amertumes les plus profondes, en me couvrant de leur bienveillance infinie. Par un·e anonyme, le 2024-11-04
À l'aube, je m'éveille, et déjà ton image s'impose à mon esprit. Tu surgis comme un éclair, une vision douce et pure, et ta voix commence à résonner en moi, mélodie subtile qui m'appelle, comme une urgence, à courir vers toi. Mon cœur t'invoque ; il vacille, il s'égare sans ta lumière. En pleine tempête, toi seule brilles, éclat salvateur qui dissipe les ombres et illumine mes pensées. Tu es l'unique visage qui s'imprime en moi lorsque le bonheur s’invite autour de moi, ou quand je cherche à goûter à cette joie. Il me suffit d'un instant pour être emporté par l’éclat de ton regard, vaste océan où je me noie, où ton charme éclaire de nouveaux horizons, me portant au-delà de ce monde. Dans ta présence, je trouve une sécurité sereine, un apaisement profond ; avec toi, je me découvre en paix avec moi-même. Ce sentiment est unique, d'une intensité que je n'avais jamais connue. Et lorsque je te vois, il m’est impossible de saisir comment, en un instant si fugace, s’évanouissent mes pensées les plus sombres. Il suffit que tu parles, que cette voix pure et chargée d’espoir murmure quelques mots, pour que mes blessures se referment d’elles-mêmes, que mes cellules renaissent, comme portées par une force invisible. Et le plus troublant, c’est que malgré l’éclat inestimable que tu revêts à mes yeux, nul ne pourrait m’apporter cette plénitude que me procure ton sourire doux et lumineux. Ce sourire, à la fois tendre et rassurant, m’accorde la confiance de croire en mes capacités, de me dire que ma vie possède une valeur insoupçonnée, et que mon être mérite cette foi en lui-même. Et enfin, rien ne peut égaler la douceur de tes bras, qui, lorsqu’ils reposent sur mes épaules, apaisent mes amertumes les plus profondes, en me couvrant de leur bienveillance infinie. Par un·e anonyme, le 2024-11-03
T’es apparue dans l’ombre, silhouette envoûtante, Ton regard noir qui brille, ta tenue noire mystérieuse et troublante. T’as pas dit un mot que j’ai fini dans tes supplices. Y’a tout dans tes yeux, la passion et la malice. Je ne sais pas qui tu es, mais t’es dans ma tête, Un ouragan tranquille, une lumière secrète. Ta douceur cache une tempête de violence, Chaque mouvement me captive, une danse en silence. Ton regard, c’est une étoile perdue, Dans ce monde où l’âme est souvent déchue. Tu pourrais tout brûler, tout effacer, Avec toi, je sens qu’il y a de quoi se réparer. On vit dans la rage, dans l’obscurité, Toi, l’éclair qui fend la réalité, tu peux m’illuminer. Même la nuit, il est difficile de trouver cette fille, Et même si le soleil meurt, je te chercherai dans la nuit, dans les nuages fragiles. Je t’ai croisée, et maintenant je veux connaître, Au plus profond de ton âme, les secrets que tu veux taire. Peut-être qu’on s’asseoirait, que l’on resterait muets, Peut-être qu’au lieu de mots, nos cœurs parleraient. Ton silence résonne plus fort que des mots, Violence douce, t’es le feu sous ma peau. Et moi, je m’y perds, je m’y noie sans retour, Tu pourrais être la lumière qui éclaire mon séjour.Par un·e anonyme, le 2024-10-20
Au sein de l'UTC, diverses personnes ont pu marquer mon existence. Je m'interdis personnellement de m'étendre sur celles l'ayant teintée de regrets. Ainsi ce court message ne s'adressera nullement à l'amant que j'ai pu avoir, fut les moments passés avec agréables, le reste est trop désagréable pour être remémoré. Merci donc à mes ami.es, tous.tes autant qu'iels sont, de m'avoir soutenu au fil des jours, des semaines, des mois, bientot des années. Merci à vous d'exister, de me faire sourire, rire, vivre. Merci de m'avoir permis de voir l'étincelle dans vos yeux quand vous me revoyez après longtemps. De vous voir me sauter dans les bras, m'enlacer et me témoigner de l'affection et de la tendresse. Merci à vous pour les repas, les soirées, les jeux, les longues discussions au clair de lune. Merci à vous pour les TDs de maths partagés. Merci à vous d'exister. Par un·e anonyme, le 2024-09-23

Expression libre

Comme une phrase abandonnée au milieu, l’amour glisse sous mes pieds, tel un tapis sans substance, mais aux couleurs magiques. Il route si vite que les détails ne sont que des filets de lumière scintillant autour de mes jambes, et qui n’auront jamais assez de poignée pour me tenir en place.

Comme une phrase arrachée de force, pourquoi je vis, pourquoi je meurs ? L’a si bien dit Daniel Balavoine. N’y a t-il pas d’autre mesure pour comprendre ce que l’on mérite ? Si je vis pour moi, pour eux, ou pour les deux, le doute a-t-il une fin ?

Mais aujourd’hui, quand je regarde le ciel. j’arrive à respirer. L’amour se dérobe toujours sous mes pieds, mais c’est peut-être moi qui cours. Ce n’est pas grave, je ne veux pas m’arrêter ; ce n’est pas une envie. Car si j’en venais toujours aux envies, je n’aurai plus d’envie, et moi, j’aime ça, les envies. J’aime ne pas les écouter, et vivre si pleinement qu’elles s’offrent à moi comme un cadeau posé sur les genoux.

J’aime me laisser aller à la vie. Oui, celle qui ne plaît pas toujours, qui me contraint et m’oblige à me lever le matin. Celle qui me fait avaler mon café en cinq minutes, parce que sinon, le bus sera parti. Celle qui me fait courir avec un sac de dix kilos qui aura mon épaule un jour. C’est grâce à elle que je peux admirer les choses, m’arrêter deux secondes et les voir pour ce qu'elles sont vraiment, pas comme je désirerais qu'elles soient.
Et voilà, la vie me prend en entier. Elle m’engloutit, elle s’infiltre dans mon sang et dans mes mouvements. Grâce à elle, je n’ai plus le sang glacé, et je ne suis plus au bord de la mort. Je n’ai plus envie qu’on m’engouffre dans une tombe pour observer les nuages pendant qu’ils passent. Grâce à elle, c’est moi qui passe désormais.
Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-04-13
Flânant à l'intérieur de ces lieux tant arpentés, errant à la recherche de sa salle située à l'autre bout de l'UTC, je découvrais au détour d'un escalier une ribambelle de visages défilant à toute allure, tous suivant un cap bien défini. Dans cette marée humaine, mes yeux reconnaissent des profils. On s'est déjà croisés, entrevus ou même parlé. Mais eux et elles affectent de ne pas me voir, tout en me regardant. Ils et elles passent leur chemin... - et ça tombe bien, j'avais oublié leur prénom !Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-03-21
Composé uniquement de cinq lettres, ce mot est une constante de notre vie. Pourtant si insaisissable et indéfinissable, il a fait l'objet d'une flopée d'écrits par-delà les âges, les siècles et les millénaires, tant son poids fut (et reste toujours) si important.
Tant de définitions lui ont été attribuées; tantôt il apparaît puissamment en tant que sentiment, tantôt il donne des papillons dans le ventre, tantôt il s'exprime à travers un toucher... il vagabonde puis se retrouve entre des amis, il se meut pour cimenter les familles, il se transforme pour former de l'altruisme.
Cette merveille de l'univers qui nous est gracieusement offerte est l'une des plus belles richesses à notre disposition.
Aimons-nous les uns les autres !
Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-03-10
Super le fil!Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-03-07
Mais en fait votre illustratrice elle est vraiment hyper talentueuse ! C'est fou ! Bravo à elle ! Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-01-10
Petit conseil musique : le groupe de rock alternatif Dead Poet Society ! En plus ils sortent bientôt un nouvel album, c'est le moment de les découvrir !Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2024-01-10
Connaissez-vous le jeu Chants of Sennaar ?
Il s'agit d'un jeu vidéo (vidéal ?) mêlant linguistique et mystère(s) ! Vous y incarnerez un.e voyageur.euse qui, au fil de ses pérégrinations, découvrira et explorera la tour dans laquelle iel se trouve. Durant votre aventure, vous devrez résoudre des énigmes et traduire les langues utilisés aux différents étages de la tour par les peuples y évoluant.
Inspiré du mythe de la Tour de Babel, ce jeu vous embarquera dans un monde aussi fascinant que coloré, un scénario aux multiples facettes ainsi qu'une narration habile et poétique !
Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2023-12-13
Petit conseil musical : le groupe de folk allemand Faun ! Leur musique est très sympa pour qui aime ce genre ou voudrait en découvrir plus Par un·e lecteur·ice anonyme, le 2023-12-12