trouver le mot caché conférence ou baptémes je suis la chercher moi la ou nous nous retrouveron ce samedi 32 novembrePar un·e anonyme, le 2024-11-20
J'ai rêvé de toi.Par un·e anonyme, le 2024-11-19
Ce soir, je paierais cher pour respirer le même air que toi. Je m'assieds dans cette pièce silencieuse où seul mon coeur bat, un rythme lent, régulier, qui n'attend que toi pour l'effaroucher. Toute ma vie, j'ai prié pour avoir le calme, un silence qui me laisserait penser et ressentir, et qui me libérerait de toute attente. Aujourd'hui, je l'ai, mais je l'abandonnerait volontiers pour ta douce voix, pleine d'acceptance et de délicatesse. Par un·e anonyme, le 2024-11-16
C'est une pluie battante par un soir d'été.
Surpris par la tempête, je lève soudain les yeux
Admirant malgré moi la fureur des cieux
Marchant à petit pas dans la petite allée.
J'avais pourtant vu, bien plus tôt, ces nuages
Et j'avais observé ces myriades d'éclairs
Mais jamais rien n'échappe au glas de ce tonnerre
Et chaque goutte qui tombe forme comme un visage.
Intrigué, résigné, j'approche pour l'entrevoir,
Ce portrait scintillant au centre de l'orage.
Mon cœur éteint se serre, ma voix manque de courage
L'effigie, toute fragile, s'impose à ma mémoire.
Et ma main la caresse, douce caresse traîtresse
Cette main sur ce tableau, c'est un rêve sur une âme.
Les gouttes tremblotantes glissent avec paresse,
Sur cette œuvre qui nourrit sans faillir ma flamme.
Et j'ai beau voir l'averse, vouloir l'éviter.
Mon corps s'y précipite, et dans l'œil du cyclone
Mes yeux cherchent avide, la face d'amazone
Rassasiant mon esprit en quête de beauté.
Cette flamme fragile virevolte dans les vents
Quand dans le ciel survient la fureur des dieux.
Elle scintille et elle danse, cherchant avidement
Dans les gouttes éphémères, tes yeux victorieux
Je préférerais toujours au calme reposant
Les dangers de l'orage, et l'éclat du tableau.
Et les rythmes sauvages, ce cœur contre ma peau
Qui trépigne, hilare, indompté mais vivant.Par un·e anonyme, le 2024-11-11
À l'aube, je m'éveille, et déjà ton image s'impose à mon esprit. Tu surgis comme un éclair, une vision douce et pure, et ta voix commence à résonner en moi, mélodie subtile qui m'appelle, comme une urgence, à courir vers toi. Mon cœur t'invoque ; il vacille, il s'égare sans ta lumière. En pleine tempête, toi seule brilles, éclat salvateur qui dissipe les ombres et illumine mes pensées.
Tu es l'unique visage qui s'imprime en moi lorsque le bonheur s’invite autour de moi, ou quand je cherche à goûter à cette joie. Il me suffit d'un instant pour être emporté par l’éclat de ton regard, vaste océan où je me noie, où ton charme éclaire de nouveaux horizons, me portant au-delà de ce monde.
Dans ta présence, je trouve une sécurité sereine, un apaisement profond ; avec toi, je me découvre en paix avec moi-même. Ce sentiment est unique, d'une intensité que je n'avais jamais connue.
Et lorsque je te vois, il m’est impossible de saisir comment, en un instant si fugace, s’évanouissent mes pensées les plus sombres. Il suffit que tu parles, que cette voix pure et chargée d’espoir murmure quelques mots, pour que mes blessures se referment d’elles-mêmes, que mes cellules renaissent, comme portées par une force invisible.
Et le plus troublant, c’est que malgré l’éclat inestimable que tu revêts à mes yeux, nul ne pourrait m’apporter cette plénitude que me procure ton sourire doux et lumineux. Ce sourire, à la fois tendre et rassurant, m’accorde la confiance de croire en mes capacités, de me dire que ma vie possède une valeur insoupçonnée, et que mon être mérite cette foi en lui-même.
Et enfin, rien ne peut égaler la douceur de tes bras, qui, lorsqu’ils reposent sur mes épaules, apaisent mes amertumes les plus profondes, en me couvrant de leur bienveillance infinie.
Par un·e anonyme, le 2024-11-04
À l'aube, je m'éveille, et déjà ton image s'impose à mon esprit. Tu surgis comme un éclair, une vision douce et pure, et ta voix commence à résonner en moi, mélodie subtile qui m'appelle, comme une urgence, à courir vers toi. Mon cœur t'invoque ; il vacille, il s'égare sans ta lumière. En pleine tempête, toi seule brilles, éclat salvateur qui dissipe les ombres et illumine mes pensées.
Tu es l'unique visage qui s'imprime en moi lorsque le bonheur s’invite autour de moi, ou quand je cherche à goûter à cette joie. Il me suffit d'un instant pour être emporté par l’éclat de ton regard, vaste océan où je me noie, où ton charme éclaire de nouveaux horizons, me portant au-delà de ce monde.
Dans ta présence, je trouve une sécurité sereine, un apaisement profond ; avec toi, je me découvre en paix avec moi-même. Ce sentiment est unique, d'une intensité que je n'avais jamais connue.
Et lorsque je te vois, il m’est impossible de saisir comment, en un instant si fugace, s’évanouissent mes pensées les plus sombres. Il suffit que tu parles, que cette voix pure et chargée d’espoir murmure quelques mots, pour que mes blessures se referment d’elles-mêmes, que mes cellules renaissent, comme portées par une force invisible.
Et le plus troublant, c’est que malgré l’éclat inestimable que tu revêts à mes yeux, nul ne pourrait m’apporter cette plénitude que me procure ton sourire doux et lumineux. Ce sourire, à la fois tendre et rassurant, m’accorde la confiance de croire en mes capacités, de me dire que ma vie possède une valeur insoupçonnée, et que mon être mérite cette foi en lui-même.
Et enfin, rien ne peut égaler la douceur de tes bras, qui, lorsqu’ils reposent sur mes épaules, apaisent mes amertumes les plus profondes, en me couvrant de leur bienveillance infinie.
Par un·e anonyme, le 2024-11-03
T’es apparue dans l’ombre, silhouette envoûtante,
Ton regard noir qui brille, ta tenue noire mystérieuse et troublante.
T’as pas dit un mot que j’ai fini dans tes supplices.
Y’a tout dans tes yeux, la passion et la malice.
Je ne sais pas qui tu es, mais t’es dans ma tête,
Un ouragan tranquille, une lumière secrète.
Ta douceur cache une tempête de violence,
Chaque mouvement me captive, une danse en silence.
Ton regard, c’est une étoile perdue,
Dans ce monde où l’âme est souvent déchue.
Tu pourrais tout brûler, tout effacer,
Avec toi, je sens qu’il y a de quoi se réparer.
On vit dans la rage, dans l’obscurité,
Toi, l’éclair qui fend la réalité, tu peux m’illuminer.
Même la nuit, il est difficile de trouver cette fille,
Et même si le soleil meurt, je te chercherai dans la nuit, dans les nuages fragiles.
Je t’ai croisée, et maintenant je veux connaître,
Au plus profond de ton âme, les secrets que tu veux taire.
Peut-être qu’on s’asseoirait, que l’on resterait muets,
Peut-être qu’au lieu de mots, nos cœurs parleraient.
Ton silence résonne plus fort que des mots,
Violence douce, t’es le feu sous ma peau.
Et moi, je m’y perds, je m’y noie sans retour,
Tu pourrais être la lumière qui éclaire mon séjour.Par un·e anonyme, le 2024-10-20
Au sein de l'UTC, diverses personnes ont pu marquer mon existence.
Je m'interdis personnellement de m'étendre sur celles l'ayant teintée de regrets.
Ainsi ce court message ne s'adressera nullement à l'amant que j'ai pu avoir, fut les moments passés avec agréables, le reste est trop désagréable pour être remémoré.
Merci donc à mes ami.es, tous.tes autant qu'iels sont, de m'avoir soutenu au fil des jours, des semaines, des mois, bientot des années.
Merci à vous d'exister, de me faire sourire, rire, vivre.
Merci de m'avoir permis de voir l'étincelle dans vos yeux quand vous me revoyez après longtemps. De vous voir me sauter dans les bras, m'enlacer et me témoigner de l'affection et de la tendresse.
Merci à vous pour les repas, les soirées, les jeux, les longues discussions au clair de lune.
Merci à vous pour les TDs de maths partagés.
Merci à vous d'exister.
Par un·e anonyme, le 2024-09-23